C’est qui qui lit?

Quoi ? à qui ? comment ?
Moi, je veux bien.

C’est qu’il y a du plaisir sous la couverture !
Et les ados n’ont pas dit leur dernier mot.
Bientôt, ils seront prêts à lire à haute voix aux petits,
à l’école maternelle, en face de leur lycée.

Qui lit petit, lit toute sa vie ! (et c’est pas moi qui l’ai dit)

Terre de vie

Commencer une nouvelle année.

Modeler. Remodeler. Construire, aplatir, reconstruire. Regarder, lire, dire et  (d)écrire ce qui se passe. Surtout, ne se passer ni de la terre ni des mots.

Nous sommes entrées en 2019, au foyer du Flocon à Tourcoing, avec des jeunes et un élan particulier.

Trois journées toutes neuves pour rencontrer et expérimenter la puissance sensible de l’argile, dans une bien jolie danse avec les mots.

Trois journées partagées avec Emmanuelle Duguet, de L’inter(s)tisse.

Trois journées à malaxer, tripoter, caresser, gratter, former, dire, déformer, étaler, lire, recouvrir, découvrir, taper, écraser, éclater, sentir, ressentir, écrire, chanter, vibrer. Les oreilles au cœur, les yeux dans les mains.

Jumana, du haut de ses 14 ans, dirait « très satisfaisant, c’est très très satisfaisant ».  Assurément!

Poètes de la route

Les voilà en formation conduite routière.
Élèves de seconde, au lycée professionnel Saint-Exupéry, Halluin.

Quel regard portent-ils sur la route?
Quel regard porte-t-on sur leur métier?
Où la poésie s’est-elle cachée?
entre deux lignes blanches, sous la pédale d’embrayage,
sur une voie de décélération?

Ni une, ni deux, les poètes de l’autoroute font leur première sortie sur la piste des mots!
L’atelier d’écriture sera prolongé en cours d’arts et un recueil de poésie de la route sera édité en fin d’année.

A suivre…