Le printemps arrive et les histoires au pied des immeubles s’invitent en haut de la tour. Eh oui ! Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme !
Alors ? Vous êtes bien installés ? La première histoire est un poème qui guérit les poissons. Je vous la raconte depuis le fond de mon bocal…
Ça bouillonne dans la ville. Lille-Sud est en vie. Les artistes du Laboratoire d’Humanité et les habitants ouvrent les portes du quartier à travers une carte de 3 mètres par 6, encollée sur les murs. Trois années de rencontres, de collecte, d’ateliers. Un travail de cartographie ressentie.
Les Yeux d’Argos et Du vent dans les mots s’associent pour raconter ce projet et entrer dans la carte, avec envie, en mouvement, en voix !
Une histoire de musique et de partage, une conférence poétique
Émilie Da Lage, enseignante chercheuse à l’université de Lille, a rencontré les femmes kurdes qui ont fréquenté le Women Center du camp de la Linière à Grande-Synthe. Avec l’association Attacafa, elle partage son regard sur le rôle de la musique dans ce moment d’exil.
A ses côtés, Frédérique Lamblin (voix) et Liza Callaert (violon alto) partagent, en écho, en musique et en poésie, des récits de femmes et d’exil.
Le Jeudi 13 Février 2020 à 18h30 à la médiathèque de Rosult Entrée gratuite – sur réservation au 03.27.35.20.75 ou par mail mediatheque@sivs.fr
Dis donc. Le vent a pris l’an neuf pour laisser place à dix fois plus. Plus de quoi au juste ? Ha ha ! Langue au chat. Qui souffle une réponse ? La parole aux rêves. Zoum ! Le vent dans les bons mots, les bons vœux. A vos souhaits !
On serait peut-être dans le bon sens, une fois dans l’autre sens ? La tête en bas, les mots en haut. On ouvrirait la porte de 2020 et on s’en irait sur les chemins de la poésie. Oui ? Ça vous dit ?
MERCREDI 18 DÉCEMBRE, entre 15h et 17h, sur le marché de la place Vanhoenacker de Lille Moulins, on vous offre entre les étals et sous le parapluie, des chants d’hiver et en langues étrangères.
On peut choisir ses mots. Avec la délicatesse d’un horloger. La précision d’une dentellière. Choisir ses mots et les partager. Dans un temps compté, dans un lien qu’on compose. Choisir ses mots ou bien les laisser prendre la voix. Celle d’une petite heure de rencontre, d’écoute, de création.
Quoiqu’il arrive, nous emprunterons le chemin singulier des histoires.
De lectures en musique, des paroles échangées deviennent chansons, empreintes d’instants, d’ici, de maintenant et du temps tout autour. Dans ce service de soins palliatifs, les enregistrements se partagent en famille, entre amis, avec intensité !
Une nouvelle collaboration avec Gilles Anquez soutenue par l’Agence Régionale de Santé