Du vent dans les mollets

C’est partiiiiiiii ! Hissez la grand voile ! Demain, nous partons à vélo.
N’oublie pas de prendre les sandwichs aux lentilles, des biscuits à tremper dans le thé et ta flûte !
Je m’occupe des crayons de bois et des feuilles volantes.
Nous dormirons à la belle étoile. La lune est jolie, aussi.
Les rollers ? une autre fois. Joie, joie, joie !

Nous irons au bois

Sur radio Bois Blancs et dans votre canapé, la poésie s’offre à vous.
Nos chemins empruntent ceux des textes d’auteurs et des créations maison.

Retrouvez-nous les lundis et les mercredis, à 16 heures,
pour un duo de textes et deux voix avec Marie-Noëlle Dehondt
sur www.radioboisblancs.fr

Et plus encore, en musique ♫ avec Gilles Anquez, en écoute libre, ici.

On mélange les lettres et on recommence

On pourrait ouvrir une petite liste de (manières d’être) parents. Un catalogue, à la Ponti ?
C’est que le modèle n’est pas… unique. Il en existe une variété immense.
Et mieux encore ! Cette multiplicité habite le parent unique !
Le hic, c’est justement quand cette diversité est écrasée par un parent dominant. Le putsch, quoi.
Les enfants l’ont bien compris. Ils offrent d’ailleurs à leurs parents des occasions inespérées de s’essayer à d’autres manières d’être.
MERCI !

Tu racontes des salades

« À force de poireauter, on finira par manger les pissenlits par la racine.
On est là, en rang d’oignons.
Des fois, je me demande si les carottes sont cuites. Et j’ai pas vraiment envie d’être une bonne poire.

– Allez ma grosse légume. On descend au jardin.
C’est pas la fin des haricots, dis.
Ramène ta fraise, je te raconte une histoire qui compte pas pour des prunes. Ça te filera la banane. La cerise, elle est sur le gâteau ! »